Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Another Day in Paradise...
Archives
27 novembre 2014

G.R.A.T.I.T.U.D.E ♥

C'est le dernier jeudi du mois de novembre et comme le veut la Tradition, tous les américains se

 réuniront en famille pour partager la dinde de Thanksgiving ainsi que le gâteau au potiron et

 rendre grâce pour tous les bienfaits observés au cours de l'année;

Et même si cette tradition ne fait pas partie des us locales, Maman aime à se rappeler les

nombreuses faveurs qu'elle a reçu au cours de sa Vie;

Bien évidemment, elle est reconnaissante pour le souffle de vie, sa Famille, ses Amis et la bénédiction

 de voir son Premier né servir une mission à plein temps mais aujourd'hui, en assistant à la rencontre

parents-profs de Monsieur TeOra, elle a ressenti de la gratitude pour l'Evangile du Christ et pour les

dirigeants de l'Eglise fidèles qui oeuvrent avec zèle;

Écouter les professeurs complimenter Monsieur pour ses qualités rédactionnelles et les entendre dire

qu'il avait fait le bon choix en optant pour une filière littéraire l'a fait sourire et l'a ramené 8 ans en

arrière lorsqu'elle a dû réconforter un Monsieur TeOra dont l'institutrice de l'époque l'avait qualifié

d'élève rêveur qui n'écoutait pas les consignes et qui plus tard aurait bien du mal  à trouver sa voie.

Maman se souvient qu'elle lui avait raconté une petite histoire tirée d'un discours donné lors d'une

 Conférence Générale;

Dans son discours, Joseph B.Wirthlin avait ainsi relaté le destin hors du commun d'un vieux cheval...

...............

" Harry, professeur d’équitation dans une école de filles de New-York, était sur le point de partir

quand un de ces chevaux, un hongre gris non soigné avec de vilaines blessures aux jambes,

retint son regard.

L’animal portait encore les marques causées par un lourd harnais de travail, preuve de la vie dure

qu’il avait menée. Mais quelque chose en lui attira l’attention de Harry au point qu’il en offrit 80 dollars.

Il neigeait quand les enfants de Harry virent le cheval pour la première fois et, à cause du manteau de neige

qui lui recouvrait le dos, ils l’appelèrent « Snowman ».

Harry soigna le cheval, lequel se révéla être un animal doux et fiable, un cheval que les filles aimaient

monter parce qu’il était posé et ne sursautait pas comme certains des autres.

En fait, Snowman fit des progrès si rapides qu’un voisin l’acheta pour le double du prix que Harry

avait payé au départ.

Mais Snowman ne cessait de disparaître de la pâture du voisin, parfois pour aboutir dans les champs

de pommes de terre contigus, d’autres fois pour revenir chez Harry.

De toute évidence, le cheval avait dû sauter par-dessus les clôtures séparant les propriétés, mais cela semblait

impossible : Harry n’avait jamais vu Snowman sauter par-dessus quelque chose de plus haut qu’un

tronc d’arbre tombé.

Finalement le voisin perdit patience et exigea que Harry lui rachète le cheval.

Pendant des années, le grand rêve de Harry avait été de former un champion de jumping.

Il avait eu quelques succès modérés dans le passé, mais il savait que, pour faire de la compétition au plus haut

 niveau, il lui faudrait acheter un cheval avec un pedigree, spécialement produit pour le jumping.

Et ce genre de pedigree coûtait bien plus que ce qu’il pouvait se permettre.

Snowman prenait déjà de l’âge.

Il avait huit ans quand Harry l’avait acheté et il avait été maltraité.

Mais apparemment, il voulait sauter, aussi Harry décida de voir de quoi il était capable.

Ce qu’il vit lui donna à penser que son cheval avait peut-être une chance de faire des concours.

En 1958, il inscrivit Snowman à son premier concours.

Snowman se retrouva parmi les pur-sang champions, où il faisait vraiment tache.

Les autres éleveurs le qualifièrent de « sac à puces ».

Mais ce jour-là il se produisit quelque chose de merveilleux et d’incroyable.

Snowman gagna !

Harry continua de l’inscrire à d’autres concours et il continua de gagner.

Le public applaudissait chaque fois qu’il remportait un concours.

Il devint un symbole de la façon dont un cheval ordinaire pouvait devenir extraordinaire.

Il apparut à la télévision. On écrivit des articles et des livres sur lui.

Comme il continuait de gagner, un acquéreur offrit 100 000 dollars pour le vieux cheval de labour,

mais Harry ne voulut pas le vendre.

En 1958 et 1959, Snowman fut nommé « cheval de l’année ».

Finalement, le hongre gris, autrefois destiné à être vendu au moins offrant, entra dans le

panthéon des chevaux les plus célèbres .

Pour des millions de gens, il fut beaucoup plus qu’un cheval.

Il devint l’exemple du potentiel caché et inexploité qui se trouve en chacun."

................

Maman se souvient qu'après avoir raconté cette histoire, elle avait regardé son petit Monsieur 

en lui disant que même si son institutrice ne trouvait en lui "rien d'exceptionnel", elle connaissait

son potentiel, qu'il ne devrait jamais douter de sa Vraie Valeur et qu'il devait faire de sa vie un

Chef d'Oeuvre!

Aujourd'hui,  Monsieur TeOra se rend compte à quel point il est Unique;

Et Maman ne peut qu'être grandement reconnaissante pour l’Évangile de Jésus-Christ qui guérit

le cœur brisé, donne un sens à la vie, unit les proches par des liens qui transcendent la condition

mortelle et apporte une joie sublime.

La vie abondante est à la portée de chacun du moment que chacun boive abondamment l’eau vive,

remplisse son cœur d’amour et fait de sa vie un chef d’œuvre.

Gratitude

Publicité
Publicité
Commentaires
Another Day in Paradise...
Publicité
Newsletter
21 abonnés
Publicité